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COMMENT COMMENCER À ÉPARGNER ?
L’assurance vie offre beaucoup de souplesse. Au moment de la souscription, le minimum à investir est compris entre 1 000 et 1 500 €. Cela dépend de l'assureur et du contrat, comme notre contrat digital LINK VIE, dédié et construit pour les "jeunes épargnants". Même avec une faible capacité d’épargne, vous pouvez réaliser des versements réguliers : 50 ou 100 € par mois suffisent.
Vos versements peuvent s’adapter au rythme de votre vie. Une promotion avec une belle augmentation ? Vous avez la possibilité d’augmenter vos versements. A l’inverse, si vous rencontrez des difficultés, vous pouvez les réduire.
Deuxième avantage, l’assurance vie vous permet de « prendre date ». Cela signifie que vous commencez à faire courir votre contrat pour profiter d’une fiscalité intéressante si vous voulez récupérer votre argent. Au bout de huit ans, le taux de prélèvement libératoire sur les intérêts générés n’est plus que de 7,5 %. Vous devrez également vous acquitter des prélèvements sociaux, au taux global de 17,2 %.
Enfin, contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, il est possible de sortir son argent avant cette échéance des huit ans. L’assurance vie est alors un moyen de se constituer une épargne pour financer vos futurs projets de vie, comme un achat immobilier ou un congé sabbatique par exemple.
COMMENT RÉDUIRE VOS IMPÔTS ?
Vous pouvez réduire vos impôts en augmentant vos charges (versement épargne retraite) ou en bénéficiant des dispositifs d’incitation créés par le législateur en contrepartie de la participation à la vie économique du pays (investissement locatif sous conditions, investissement dans l’innovation, retraite par capitalisation…).
Pour ne négliger aucun dispositif, la construction de votre épargne doit être envisagée dans une stratégie patrimoniale globale et mise en oeuvre avec l’aide d’un conseiller financier.
BIEN CHOISIR SON MODE D'UNION EST ESSENTIEL
Deux choix s’offrent à vous : Pacs ou mariage.
RÉGIME LÉGAL OU RÉGIME DE LA SÉPARATION DES BIENS ?
Le régime de la communauté réduite aux acquêts s’applique de plein droit si rien n’est prévu au moment du mariage. Il est adopté par environ 80 % des Français. Dans ce régime, les biens communs sont les biens créés ou acquis pendant le mariage, autrement que par héritage ou par donation.
Les biens propres sont ceux dont chaque époux était propriétaire avant le mariage et ceux reçus par succession ou donation.
Tous les revenus sont des biens communs, même les revenus des biens propres. Il existe des aménagements à ce régime qui permettent de mieux protéger son conjoint.
Choisi le jour du mariage (ou à la suite d’un changement de régime matrimonial), le régime de la séparation des biens confère à chaque époux une grande indépendance financière et matérielle. En effet, tous les biens acquis avant et après le mariage restent des biens propres. Il existe des aménagements à ce régime qui permettent de mieux protéger son conjoint ayant le plus faible revenu ou le plus faible patrimoine.
FINANCER LES ETUDES DE SES ENFANTS
Les études des enfants sont un poste budgétaire qu’il est essentiel de prévoir le plus tôt possible. Cela peut rapidement représenter de fortes sommes et il est nécessaire que le niveau de vie général de la famille ne soit pas bouleversé. Il suffit donc de s’y préparer…
Pouvoir y faire face avec sérénité implique de se constituer à la fois un capital et des revenus complémentaires dédiés :
Plus l’échéance est lointaine, plus les options sont nombreuses et peuvent s’adapter à chaque situation patrimoniale et aux objectifs précis de chaque famille.
ANTICIPEZ !
Entre allongement des durées de cotisations et baisse des pensions, il est indispensable de se montrer prévoyant et d’anticiper la perte de revenus au moment du passage à la retraite. Salariés cadres ou non-cadres, professions libérales, artisans,... tous les statuts sont concernés.
Un complément de retraite s’élabore au cours de la vie active par une épargne sur le long terme. Lors de la retraite, l’investisseur perçoit alors des revenus complémentaires sous forme de rente viagère ou de capital. Envisager sa stratégie retraite le plus tôt possible dans sa vie professionnelle permet non seulement de bénéficier de revenus plus importants lors de la cessation d’activité mais également de répartir substantiellement son effort d’épargne.
DIVERSIFIEZ VOS SUPPORTS D'INVESTISSEMENT
La plupart des produits d’épargne peuvent s’inscrire dans une stratégie de préparation à la retraite. N’oubliez pas d’inclure à votre réflexion certains critères : votre âge, la date envisagée de départ à la retraite, le nombre d’années de cotisation, votre budget, votre capacité d’épargne, votre statut professionnel,… Vous devrez également prendre en compte les conditions inhérentes au dispositif choisi : fiscalité, possibilités de réversion, risques financiers…
Pour ne négliger aucun dispositif, la préparation à la retraite doit être envisagée dans une stratégie patrimoniale globale et mise en oeuvre avec l’aide d’un conseiller financier.
FAIRE UNE DONATION DE SON VIVANT
Nombreux sont ceux qui, pour aider leur famille de leur vivant, accompagnent les projets de leurs proches au moment où le besoin se fait sentir. Le don manuel d’une somme d’argent leur permet ainsi de gérer ces situations tout en préparant la transmission de leur patrimoine grâce aux conditions avantageuses de la fiscalité successorale applicable.
Le pacte adjoint permet de définir dès le départ les conditions du don et de contrôler le remploi des fonds donnés, la gestion du capital ainsi que le moment de mise à disposition du capital. La donation permet, tous les 15 ans, de donner un certain montant sans qu’il soit imposé. Ce dernier varie en fonction de l’âge du donataire et du donateur, ainsi que du mode de détention (pleine propriété, nue-propriété ou usufruit).
OPTIMISER SA SUCCESSION
Cela implique de limiter au maximum le montant des droits de succession. Comment faire ? En choisissant les placements bénéficiant des meilleures conditions financières en termes de transmission.
Tous les produits d’investissement ne présentent pas les mêmes caractéristiques en termes d’imposition aux droits de succession, de possibilité d’en disposer ou de les partager. En fonction des objectifs patrimoniaux en cours de vie et des souhaits d’optimisation des conditions de transmission, les choix dépendent de chaque famille et de chaque structure patrimoniale. Dans tout choix d’investissement doivent entrer en ligne de compte les modalités de transmission.
Pour ne négliger aucun dispositif, la transmission doit être envisagée dans une stratégie patrimoniale globale et mise en oeuvre avec l’aide d’un conseiller financier.
Comment estimez-vous votre niveau de connaissance en gestion patrimoniale ?
Afin d'optimiser au mieux votre patrimoine, il est important de définir l'objectif que vous souhaitez atteindre. Définissez votre projet !
Dernière étape ! Dites-nous en plus, où en êtes vous dans votre réflexion ?
En fonction de vos réponses nous vous proposons ci-dessous un premier panel de solutions pouvant répondre à votre demande. Nous restons à votre disposition via le module contact pour vous aider.
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